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Marie-Aude MURAIL
Yvan POMMAUX - Chut !
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Marie-Aude MURAIL
Qui n'a pas entendu parler de Nils Hazard, l'étruscologue-détective? Ou d'Émilien, le « Rambo des nurserys », dont on sait à peu près tout depuis Baby-Sitter Blues ? Après ces deux séries, Marie-Aude Murail a exploré de multiples veines, qu'elles soient politiques, réalistes ou fantastiques. Oh, boy !, publié en 2000, a enthousiasmé adolescents et adultes et remporté une trentaine de prix avant d’être porté à l’écran puis sur les planches. Ont suivi, entre autres : Simple, plébiscité et couronné en Allemagne, Miss Charity, le plus victorien de ses romans, Papa et maman sont dans un bateau et… invités dans la crise, 3000 façons de dire je t’aime, ode à l’éternelle jeunesse du théâtre. Marie-Aude Murail est née au Havre (Seine-Maritime) en 1954. Parisienne, puis Bordelaise, elle vit aujourd'hui à Orléans avec son mari. Ses trois enfants ont grandi, comme ses quelque 90 livres, qui ont traversé les frontières, traduits en 22 langues. Docteur ès Lettres en Sorbonne à 25 ans, elle a reçu la Légion d'Honneur à 50 pour services rendus à la littérature et à l’éducation.
Yvan POMMAUX
Le 13 septembre 1946, je nais à Vichy, dans l'Allier. Maman m'emmène au parc. Tous les jeudis, je vais au Lux. Tous les dimanches, je joue au rugby. Tous les jours, je dessine. En 1964, j'échoue au baccalauréat. Je vais aux Beaux-Arts, puis je travaille comme maquettiste chez un installateur de magasins. Ce sont les années " Formica ". Je " monte " à Paris, où j'exerce divers petits métiers. Me voilà bientôt maquettiste à l'école des loisirs. En 1972, je pars en Touraine et deviens auteur-illustrateur indépendant. J'écris, je dessine et Nicole met en couleurs. Nous avons une fille, nous nous marions, nous avons une autre fille et nous créons de nombreux livres et bandes dessinées. Yvan Pommaux
Résumé
Vladimir a fêté la naissance du petit-duc Ivan à sa manière. Il a composé une chanson un peu moqueuse, pleine de mots en « V » et de rimes en « Vlan », qui a remporté un gros succès. Le grand-duc a si peu apprécié qu’il a décidé d’interdire tous les mots contenant la lettre V. D’abord sous peine d’amende, puis d’avoir la langue coupée ! Désormais, on parle lentement en se méfiant de tous. La police de répression du V rôde… Mais est-il possible de parler sans la lettre V ?